Premières expériences et engrenages : Chapitre 51 : Champagne

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il y a 1 an

Chapitre 51 : Champagne

J’étais encore sur un nuage. Depuis qu’elle m’avait embrassé, tout me paraissait plus léger, moins conséquent. Nous redescendîmes dans le salon où les deux autres couples nous attendaient. Ben portait un plateau d’argent sur lequel ne se trouvait que trois entonnoirs se terminant par une forme phallique recourbée, évidée plutôt courte, le tout possédant un élastique de fixation.

La conception des pièces aveint été fignolée et il ne manquait aucun détail. Elles semblaient plus artistiques que fonctionnelles. Voulaient-elles nous gaver comme des oies ? L’élastique se portait indubitablement derrière la tête et le phallus dans la bouche.

  • C’est la dernière épreuve de la journée. Ce n’est pas ton domaine de prédilection et je sais que tu n’aimeras pas, mais ne me fais pas honte, me demanda Ladyscar, méchamment.

Comment pourrais-je après le baiser qu’elle m’avait donné ? Le fait que c’était la première fois de la soirée qu’elle s’inquiétait de ma réaction, m’affola soudainement. Qu’allaient-elles nous faire avaler ?

  • On ne peut clore une soirée aussi parfaite sans offrir du champagne à nos soumis, afin de les remercier de leur contribution.

Je soufflai intérieurement, soulagé. Même si je n’étais pas porté spécialement sur l’alcool, avec lequel je réagissais d’ailleurs plutôt mal, j’étais fier d’avoir bien supporté la première bouteille. On dit que la qualité ne soûle pas. Mais pourquoi m’avertir et pourquoi cet entonnoir ? Quelque chose m’alertait, mais je ne pouvais déterminer ce que c’était. Il n’y avait pas de bouteille. Le seau était toujours là, mais vide. Les glaçons avaient fondu.

  • On tire au sort, demanda à nouveau Maîtresse Diane.

  • Bien entendu, réagit Lady Christine, immédiatement.

Elles avaient préparé cela pendant que nous trainions en haut. Leur jeu d’actrices étaient déplorables. Ladyscar ne pouvait que laisser faire, perdant à chaque fois la majorité.

Je tirai la carte de Maîtresse Diane à son grand bonheur, Nathan eu ma maîtresse et Ben se vit assortir à Lady Christine. Si on omettait l’apéritif, c’étaient la première fois que ces trois couples étaient formés.

Maitresse Diane m’attacha l’objet après avoir enfoncé le mini gode plastique dans ma bouche. J’ai eu une petite frayeur, mais le trou même étroit et mon nez dégagé ne m’avisaient pas encore d’un étouffement possible et ma phobie me laissa tranquille. Le baiser m’avait aussi détendu.

  • A genou, m’ordonna-t-elle, jubilant.

Et c’est là que je compris, quand elle ôta sa culotte de cuir. Je me retournai vers ma maîtresse à la recherche d’un secours, mais celle-ci ne prit pas la peine de me regarder, ni d’enlever sa culotte d’ailleurs. Elle ne l’avait pas remise depuis que Ben lui avait servi l’apéritif. Je ne pus éviter de regarder Lady Christine qui décida de se dévêtir complétement, dévoilant un corps ascétique, mais bien entretenu. On discernait une musculature assujettie à des entrainements réguliers. Je comprenais mieux les traces qu’elle nous avait laissées, à nous, les trois soumis.

Bien que nous fussions prêts, Maîtresse Diane attendit que les deux autres couples le soient aussi. En attendant elle entretenait la conversation.

  • Je ne me suis pas lavée depuis que tu m’as mouillée. J’espérai vraiment tomber sur toi. Tu n’auras pas que ma pisse, soumis. Tu retrouveras toute cette mouille, toute cette salive, que tu as laissées. Et prépares-toi à boire longtemps car je me retiens depuis que vous êtes arrivés.

Je n’étais même pas attaché. Je n’avais qu’à me relever. Dire non. Je savais que je n’apprécierai pas. Outre que cela était sale et dégoûtant… Non c’était juste sale et dégoûtant. L’entonnoir m’obligerait à avaler. Je trouvais soudain ce trou, de la taille d’une paille, traversant le phallus, trop gros. J’appréciai en revanche le coude qui maintenait l’entonnoir droit alors que ma tête restait presque horizontale. Je savais ce qui se passerait. La pisse remplirait ma bouche. Je pourrai l’avaler par gorgée. Je découvris que je pouvais aussi boucher d’une contorsion de ma langue, l’orifice de sortie. Mais si je n’avalais pas assez vite… Cela déborderait ou l’impression d’étouffer reviendrait et je me relèverai ou plus simplement je baisserai la tête. J’en vérifiai le mouvement, m’apprêtant déjà à le renverser si cela ne me convenait pas.

  • Quand un soumis détruit, casse ou salit quelque chose, c’est à sa maîtresse de payer, me dit mon hôtesse, sans que je ne sache de quoi elle parlait. Tu vois ce tapis persan sur lequel nous sommes, il coute une petite fortune et endettera ta maîtresse, pendant plusieurs années au moins, si tu en renverses une seule goutte. Je sais que vous m’avez volontairement fait tacher cette robe. Ce tapis coute bien plus cher, menaça maîtresse Diane.

Je reconnaissais l’esprit vicieux et manipulatrice de la dominatrice. Je voulais parler, m’écarter de ce tapis sur lequel nous étions le seul couple à s’y être installé, sorte d’épée de Damoclès inversée. Mais il était trop tard, presqu’ensemble, les trois maîtresses relâchèrent leur vessie, commençant à déverser leur liquide doré dans les entonnoirs respectifs.

Alors que je voyais le liquide tournoyer sur ses bords, presque volatile, comme sublimant l’instant, avant de s’engouffrer dans le gode, je savais que je le ferai.

Je tiendrai pour ma maîtresse.

Je tiendrai pour ce baiser.

La première impression ne fut même pas négative. C’était la chaleur du liquide à laquelle on pouvait s’attendre, ensuite vint le goût, acide, piquant. C’était vraiment dégoutant. Je ne comprenais pas l’intérêt de telle pratique, totalement humiliante, je devais pourtant le reconnaître. Mais la menace pesant dans l’air, dans la position contrariante qu’elle m’avait fait prendre, à genou, les mains sur les chevilles avec ordre de ne pas les lâcher, j’avalai.

J’avalai au fur et à mesure, poussé par ma phobie d’étouffer si je cherchai à refuser. Etrangement, cette phobie, concentrant mes sensations, était presque une bénédiction, faisant abstraction de la nature du liquide, jusqu’à ce que l’odeur me parvînt. Mon nez, protégé un temps par la présence de l’entonnoir, ne détecta le liquide et ne brisa son anonymat que tardivement, informant alors mon cerveau de ce qu’il faisait. Pris au dépourvu par ce nouvel élément, incompatible avec les données qu’il avait accumulées jusque-là, il chercha à me faire recracher. Mais cette fois, je contins mon instinct et je poursuivis le calvaire, luttant contre mes sens.

Elle ne mentait pas quand elle avait dit s’être retenue. Les autres avaient terminés depuis plusieurs secondes, lorsqu’elle persévérait à m’abreuver de quelques jets espacés.

Je restais content de ma prestation, surtout maintenant que ma maîtresse me regardait. Si elle savait à quoi elle venait d’échapper !

  • C’est vraiment sa première fois. C’était impressionnant, avoua Maîtresse Diane.

  • Je l’ai motivé positivement, avoua Ladyscar. Et toi tu lui as parlé du tapis ? ajouta-t-elle.

  • Comme tu me l’as demandé. Il tient à toi, c’est certain. Il tiendra finalement tout le weekend, dit-elle alors que je comprenais que je m’étais, à nouveau, fait manipuler.

Décidemment, ma maîtresse était la plus talentueuse, reconnus-je, plus admiratif que blessé de m’être à nouveau fait attraper.

Ha ha ! Champagne ! 🍾
Vive de champagne doré.
AU secours ! la suite est réservée aux membres ?! je ne vais pas pouvoir la lire ? '^_^
Le prochain chapitre est sur https://fessestivites.com/recit/197647
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